L'histoire de la Famille Pronzati

Acte I : Années 30-40 :

La famille Pronzati, une très modeste famille sicilienne de huit enfants basée à Segreta, un petit village volcanique sillicien au pied de l'Etna.
Le père travaille sur les foires et est aussi à l'occasion menuisier et cordonnier. La mère cultive le lopin de terre familial et trois fois par an descend travailler comme journalière dans les rizières des plaines plus au sud. La mère des enfants part en France pour essayer de gagner plus d'argent alors que son fils Lazar n'a que deux ans. Le père de famille et le fils aîné meurent brutalement quelque temps après. Le reste de la famille décide alors de tenter aussi sa chance à Paris et laisse le petit Lazar chez des voisins.

L'enfant commence à travailler dès l'âge de six ans, capturant des volatiles et fabriquant des sabots. Il utilise l'argent gagné pour prendre le train et se rendre à Paris qu'il considère comme « le paradis ».
Ne sachant pas si ses économies sont suffisantes pour acheter un billet pour Paris, il décide se cacher dans un train de marchandise jusqu'au Nord de l'Italie. Il manquera de se faire attraper leur d'un arrêt à environ 100km de la frontière française.
Le jeune Pronzati attendra la nuit tombée et se a mit courir derrière le train, le suivant jusqu'à la frontière française, avec ses sabots sur l'épaule pour ne pas les abîmer. Il débarque Gare de Lyon, en 1936 à 9 ans, sans savoir ni lire, ni écrire, ni parler français.

En France, il reste trois jours et trois nuits dans la gare, jusqu'à ce qu'un chef de gare le remarque. Celui-ci tente de l'interroger sur sa présence en cet endroit, mais Lazare, ne connaissant pas le français, ne peut que lui répéter le nom d'un bistrotier, point de passage des Italiens de son village travaillant à Paris et dont on lui a parlé avant son départ. Par chance, le chef de gare reconnait le nom et le conduit chez le cafetier dont la femme le prend sous son aile.

Il commence à travailler comme ramoneur dans l'Est d'Île-de-France, où réside une importante communauté italienne et où il perfectionnera son français, puis devient crieur de journaux à Paris avant le début de seconde guerre mondiale.
Lazar s'enrôla dans la légion étrangère en espérant au fond de lui ne pas avoir à lutter contre les forces de Mussolini. La France son pays de cœur fut rapidement mis en déroute par les forces allemandes, ce qui le dirigea naturellement vers les poches de résistance de l'Ouest Parisien.

Plusieurs faits de guerre lui seront reconnus plus tard et il obtiendra la légion d'honneur, bien qu'il confessera à ses enfants, "Nul médaille ne sèche le sang versé, car il n'y a pas d'honneur dans la guerre".



Acte II : Les trois fils

Les années passèrent Lazar Pronzati se maria avec une belle française nommée Flavie, ils eurent trois enfants : Benito l'aîné, Carlo, et enfin Donato.
La famille de Flavie maçon de père en fils proposa à Lazar de devenir maçon lui aussi alors que les enfants étaient encore jeune.

Rapidement, Lazar apprit les rouages du métier et lança son affaire dans le bâtiment. Il battit lui-même aider de son fils aîné Benito ce qui deviendra plus tard le somptueux Manoir Pronzati.

Nous sommes en 1985, à peine la construction du manoir fit-elle achevée, Lazar mourra prématurément d'une attaque cardiaque comme son père avant lui après une soirée un peu trop arrosée.
Lazar abandonna ce qui allait devenir un empire à ses fils.

Les frères après avoir réconforté leur mère , décidèrent de prendre les affaires de la famille ensemble, ils apprirent très tôt le monde des affaires, sous l'oeil bienveillant de leur père...

• Donato, dix ans plus jeune que son deuxième frère, lui devra apprendre de ses ainés, son regard vif, sa fougue et son adresse bouscule ses frères à toujours innover et réussir dans les domaines encore inexplorés.
  

• Carlo, dès son plus jeune âge montra un sens inné des affaires et du commerce, marchandant des tomates volées dans les fermes environnante à ses voisins plus aisés.  Trait de caractère qu'il affinera avec les années et qu'il transformera en véritable talent, passant des tomates, aux articles de luxe, pour finir jusqu'à la vente de domaines entiers aux manias de l'immobilier, comme hommage à son père.
  

• Benito, l'aîné et nouveau chef de famille, fut aussi connu dans sa jeunesse comme l'homme de l'ombre pour sa discrétion et ses stratégies implacables.
  En effet, peu de monde dans son entourage arrivait à entrevoir ce qui lui prévoyait longtemps à l'avance, il fit d'ailleurs le premier à initier les hostilités quand d'autres familles italiennes ainsi que les autorités corrompues voulues marcher sur les plats de bandes Pronzati, héritage rudement acquis par leur père.
  
  Il sera d'ailleurs à l'initiative de mouvement de bourses tels que cela propulsa la famille dans un nouvel ère de prospérité, aux déprimants des ennemies de la famille.
  Une légende raconte que les ennemis da la famille Pronzati hanteraient encore les sous-sols du manoir.
  

Bien que les opposants de la famille virent leurs plans contrariés, les frères Pronzati surent se montrer généreux avec la communauté, offrant de restaurer la cathédrale où git encore actuellement leur père et offrant leurs aident aux plus nécessiteux.
La résonance des Pronzati fit-elle qu'ils obtinrent de faire renommer en l'honneur de leur père, la rue dans laquelle ils avaient bâti leur manoir qui deviendra le fief de leur pouvoir et influence sur la région.



Acte III : De nos jours      

Aujourd'hui, la famille après quelques années passées loin des feux projecteurs, est de retour.
Les ambitions des frères sont devenues plus élevées encore et visent désormais des sphères de pouvoirs étatiques.

Les portes du manoir, on étaient réouvertes et vous tendent les bras.. Etes-vous prêt à rejoindre l'aventure et faire partie de la famille ?